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Cancérologie

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Oncologie Tunisie: Cancérologie et chimiothérapie en Tunisie, Clinique Les Oliviers Sousse

Cancérologie Tunisie : La spécialité

C’est une spécialité médicale qui se charge de l'étude, le diagnostic et le traitement des cancers. On l’appelle également, oncologie médicale ou carcinologie. Les cancérologues, se spécialisent de plus en plus pour aboutir à plusieurs branches telles que l’oncogénétique, lacancérologie pédiatrique et l’oncogériatrie. Alors que l’oncogénétique se penche sur la génétique et la cancérologie, la cancérologie pédiatrique se penche sur la cancérologie et la pédiatrie. Quant à l’oncogériatrie, elle est le rapprochement de la cancérologie et la gériatrie. Pour prendre en charge un patient atteint d’un cancer, le médecin fait appel à plusieurs spécialistes, notamment un radiologue, anatomopathologiste, oncologue radiothérapeute, oncologue chimiothérapeute, chirurgien viscérale, chirurgien pédiatre, orthopédiste, plasticien, ophtalmologue, spécialiste en ORL, médecin spécialiste en médecine nucléaire, pédiatre, pneumologue, interniste, hématologue…

Cancérologie pédiatrique en Tunisie : Détails

C’est la branche qui prend en charge les patients de moins de 18 ans, atteints d’une maladie cancéreuse. Les examens et les soins thérapeutiques se font dans des centres spécialisés en cancérologie pédiatrique.

Oncogénétique Tunisie: Détails

5% des causes des cancers sont d’ordre génétique, et plus que 80 gênes de prédispositions génétiques, responsables de la genèse d’un cancer chez une personne donnée, ont été détectés. Ces altérations, transmissibles à la descendance, peuvent être dépistées chez des personnes dont les antécédents médicaux, personnels et/ou familiaux, évoquent une forme héréditaire. Ces personnes doivent être soumises à des tests génétiques prescrits par un médecin et réalisés dans un laboratoire d’oncogénétique. Il est important de mettre en place un plan de surveillance et/ou une chirurgie préventive bien ciblée et adaptée aux différents risques tumoraux qui sont associés à l’altération génétique identifiée.

Oncogériatrie Tunisie : Détails

Les sujets âgés, à risque ou ayant été atteint par une maladie cancéreuse, sont pris en charge pour le dépistage, le traitement ainsi que le suivi post thérapeutique. C’est l’oncogériatrie.

Maladies cancéreuses Tunisie : Dépistage du cancer

Le dépistage est un acte de recherche d’une ou plusieurs maladies ou anomalies à risques chez les individus d'une population donnée. Dans le cas d’une maladie cancéreuse, le dépistage se fait par un simple examen, des tests sanguins ou un examen radiologique… Il permet la détection d’une maladie avant son évolution à un stade avancé ou encore, avant l’apparition des signes cliniques.

Personnes concernées par le dépistage du cancer en Tunisie

a) Les sujets à risque, ayant des antécédents familiaux ou d’autres facteurs de risque… Le dépistage concerne alors, une population bien ciblée.
b) Le dépistage de masse qui se fait pour une population générale.

Organes concernés par le dépistage du cancer en Tunisie

Le dépistage du cancer du sein se fait par l’examen des seins, la réalisation d’une mammographie ou une échographie mammaire,
le cancer du col utérin se détecte par l’examen clinique et par la réalisation d’un frottis cervico vaginal (FCV),
le cancer du côlon est diagnostiqué après un examen clinique, la colonoscopie et la biopsie
Le cancer rectum est aussi diagnostiqué après un examen clinique, la recto-colonoscopie et la biopsie.

Toutes les investigations, l’examen clinique, les résultats des explorations radiologiques (radiographie standard, échographie, scintigraphie, IRM, tomographie par émissions de positons (TEP) et biologiques (marqueurs tumoraux : ACE, PSA, CA 125, Alpha foeto-protéine …) nous informent sur l’éventualité d’une maladie cancéreuse. Ce n’est qu’après un examen anatomopathologique qu’on peut confirmer ou non la présence d’une tumeur. Cet examen se fait par l’analyse d’une biopsie ou des cellules d’un liquide biologique (sang, urine...).

Anatomopathologie Tunisie : Rôle du médecin oncologue

Le médecin oncologue examine les résultats des explorations radiologiques, l’examen clinique, les résultats des explorations biologiques et anatomopathologiques pour diagnostiquer un cancer et définir les différents stades. Il le classe selon le type et prescrit le traitement le plus adéquat.

Oncologie Tunisie : Les maladies pris en charge

Tous types et toutes catégories de cancers sont pris en charge depuis le dépistage jusqu’aux cures thérapeutiques par un cancérologue. Toutefois, le cancérologue, a besoin d’autres disciplines et travaille en parallèle avec d’autres spécialistes comme le chirurgien, orthopédiste, gynécologue, urologue, plasticien, ophtalmologue, dermatologue, interniste, hématologue, pédiatre, réanimateur…) Le cancer peut attaquer le système nerveux, on parle alors de tumeurs cérébrales primitives ou secondaires (métastases). Il peut aussi être thoracique, gynécologique, digestif, uro-génital… comme il peut prendre une autre forme, dans les cas d’hémopathie (lymphomes…) tumeurs rares, tumeurs de nature indéterminée, syndrome paranéoplasique, etc.

Chimiothérapie Tunisie: Traitement du cancer en Tunisie

La chimiothérapie traite les maladies de cancer en agissant sur les mécanismes de division cellulaires au moyen de substances chimiques. C'est une technique de traitement à part entière et l’un des traitements de référence pour combattre le cancer.

Une cinquantaine de médicaments est utilisée dans le traitement du cancer. La plupart de ces médicaments atteignent les cellules les plus actives comme celles du cancer, au moment où elles se multiplient. Les cellules peu actives seront donc épargnées en jouant sur les doses des médicaments. Par ailleurs, les tissus sains très actifs, telles que les cellules sanguines, la muqueuse et la peau seront touchées, et devront donc se régénérer. Administrés par voie intraveineuse (perfusion) ou parfois par voie orale sous forme de comprimés, les médicaments de chimiothérapie, agissent sur tout le corps mais surtout sur les cellules cancéreuses en faussant leur mécanisme de multiplication. Selon le stade de la maladie et son type, il existe plusieurs classes de médicaments de chimiothérapie aussi efficaces les uns que les autres. Nous citons à titre d’exemple : les antimétabolites, les alkylants, les modificateurs de la structure tertiaire de l'ADN, les anti-topo-isomérases, Ies anti-topo-isomérases II, les agents intercalants, les agents divers sur l'ADN, les poisons du fuseau cellulaire, les taxanes, etc.

Chimiothérapie néo adjuvante Tunisie : Détails

Pour réduire la tumeur avant la chirurgie et la radiothérapie, on procède à la chimiothérapie néo adjuvante.

Chimiothérapie adjuvante Tunisie: Détails

C’est un acte essentiel après la chirurgie. Il assure l’achèvement total de la tumeur en détruisant les résidus et évitant ou retardant la récidive.

Chimiothérapie combinée Tunisie: Détails

La chimiothérapie combinée appelée aussi polychimiothérapie est le traitement qui consiste à administrer deux ou plusieurs médicaments chimiothérapeutiques pour traiter un cancer. Cette technique réduit les résistances à chacun des traitements lorsqu’ils sont pris chacun à part.

La chambre implantable : Qu’est ce que c’est?

C’est un boîtier que l’on pose sous la peau, au niveau du thorax, relié à un cathéter préalablement implanté dans une veine de gros calibre. Ce dispositif permet l’administration du traitement de chimiothérapie tout en préservant les veines superficielles de la toxicité de la chimiothérapie. L’implantation de cette chambre se fait sous anesthésie locale ou lors d’une autre opération chirurgicale, sous anesthésie générale. On s’assure de la bonne disposition du boitier par une radiographie du thorax réalisée après l’opération. Ce boitier restera en place tout le long du traitement et servira à injecter les traitements sans piquer, à chaque fois, le patient qui pourra continuer ses activités physiques normalement et sans aucun risque.

Chimiothérapie en Tunisie: Séances et étapes

Les séances de la chimiothérapie sont assurées par le médecin oncologue du patient qui va déterminer la durée du traitement en fonction de l’évolution de la maladie. Une cure peut durer un ou plusieurs jours. Le type du protocole thérapeutique et la tolérance du sujet au traitement permet de connaître les étapes à suivre. Une alternance de périodes de traitement et de repos est prévue. La cure de chimiothérapie ne commencera qu’après des examens cliniques et biologiques attestant de l’état du malade et de sa capacité de supporter le traitement. Le cas échéant, si par exemple on observe une chute du taux de globules blancs, le traitement sera modifié ou retardé.

La première cure de chimiothérapie, se fait nécessairement dans un hôpital ou une clinique où une courte période de surveillance peut s’avérer nécessaire.Par la suite, le patient devra se rendre à l’hôpital ou à la clinique pour y recevoir sa chimiothérapie, puis rentre chez lui puisque le traitement ne dure pas longtemps. C’est donc un traitement ambulatoire. En général, une chambre implantable est mise en place avant d’entamer les cures. La chimiothérapie ayant de nombreux effets indésirables, l’oncologue sera dans l’obligation de prescrire des antisémitiques, des anti-vertigineux, pansements gastriques…

Chimiothérapie en Tunisie: Les effets indésirables

De la perte d’appétit à la faim permanente, des nausées aux vomissements, les effets indésirables de la chimiothérapie varient d’une personne à une autre et d’un traitement à un autre, ou encore d’une cure à une autre. Cependant, ils ne sont pas systématiques et ne dépendent pas de l'efficacité du traitement. Certains effets indésirables sont purement psychologiques ou alors à un seuil de tolérance important à certaines molécules. Ces effets peuvent être réduits ou évités en suivant une certaine ligne de conduite ou en prenant des traitements préventifs. Mais si les effets persistent ou qu’ils sont plus ou moins graves, l’oncologue est alors appelé à modifier le médicament. Les effets secondaires de la chimiothérapie sont nombreux. Le plus connu et le plus fréquent est la chute des cheveux. Il surgit surtout dans les cures de chimiothérapie des tumeurs mammaires. L’alopécie n’est pas facile à accepter puisque c’est un signe visible et concret de la maladie. Elle met le patient dans des situations embarrassantes et le mène vers un état dépressif. La chute des cheveux se passe progressivement. Elle est généralement transitoire. Elle se révèle au bout du 15e au 21e jour de la première perfusion. Ce phénomène est réversible. En effet, les cheveux repousseront environ deux mois après la fin de la cure. Tous les poils du corps chutent et repoussent sans soucis. Le second effet indésirable est les nausées et vomissements qui apparaissent illico presto, le plus souvent le soir ou le lendemain de la perfusion. Toutefois, ils peuvent surgir quelques jours après le début de la cure. Cela dépend de la personne en question, car les réactions varient d’une personne à une autre et ne dépassent pas les 72 heures après le traitement. Les nausées ne sont pas toujours accompagnées de vomissements. L’état psychologique d’un patient allant commencer un traitement chimiothérapique s’apprête aux nausées. Tout se passe dans la tête ! Parfois, elles commencent dès l'entrée dans l'hôpital, avant d’entamer le traitement. C’est normal, c’est un état d’anxiété provoquée par la maladie elle-même. Le malade peut y remédier en prenant des médicaments antiémétiques qui mettent fin aux vomissements et aux nausées. Parmi les astuces qui stoppent les vomissements, se rincer la bouche avec de l'eau fraîche deux heures avant de manger. Les vomissements partent généralement, deux jours après le traitement. Normalement, l’oncologue prescrit un traitement contre les vomissements avant ou pendant la chimiothérapie pour diminuer les risques de nausées et de vomissements. D’autre part, il est conseillé de suivre une certaine hygiène de vie, en plus du traitement médical, afin de limiter les vomissements, notamment, manger des aliments tièdes ou froids qui sont moins odorants que les aliments chauds, consommer les boissons gazeuses fraîches à base de cola, elles réduisent la fréquence des nausées, éviter les aliments indigestes, s’abstenir de boire durant les repas et surtout arrêter le tabac…

La diarrhée est aussi l’un des effets indésirables du traitement, d’ailleurs comme beaucoup d’autres médicaments. Un traitement préventif anti-diarrhéique peut être pris. Mis à part le traitement contre la diarrhée, le malade doit éviter les aliments riches en fibres. Le riz, pâtes, pommes vapeur, bananes bien mûres, gelée de coing, fromage à pâte cuite, biscottes, carottes sont les aliments à privilégier. Si la diarrhée est abondante ou s’accompagne de fièvre, il faut une hospitalisation en urgence.

Il y a aussi des anomalies hématologiques qui peuvent survenir puisque les médicaments de chimiothérapie peuvent agir sur la moelle osseuse et le sang. Cet effet étant relativement fréquent, on peut observer chez le patient :

Une chute du nombre de globules blancs (leucopénie) en particulier des lymphocytes (lymphopénie) ou des polynucléaires neutrophiles (neutropénie) qui va entraîner des infections dus à la faiblesse des moyens de défense du corps. Ce phénomène se déclenche, en général, selon le type de médicaments, entre le 8eet le 12e jour qui suit la chimiothérapie.
Une anémie se traduisant par une baisse des globules rouges, dont la fonction est de transporter l'oxygène dans tout le corps. Le malade a alors une petite mine, il est pâle et fatigué. Il éprouve une gêne respiratoire, perd ses cheveux et ses ongles deviennent cassants.
Une thrombopénie se caractérisant par une baisse du nombre de plaquettes, responsables de la coagulation sanguine. Par conséquent, le malade est sujet à des saignements et à la formation d'hématomes. Quand la leucopénie, l’anémie et la thrombopénie surviennent simultanément, on est face à un cas d'aplasie médullaire. Elle est observée en principe, après trois semaines du début de la chimiothérapie. Une prise de sang pour déterminer et quantifier les cellules dans le sang est alors nécessaire. L’oncologue demande alors une NFS (numération de la formule sanguine) avant chaque cure de chimiothérapie. Ainsi, il contrôle les taux de globules blancs, globules rouges et plaquettes, suite à quoi, il peut retarder la séance de chimiothérapie et plus encore, prescrire des facteurs de croissance si la baisse du nombre de globules rouges ou de globules blancs est très importante. Dans de rares cas, une transfusion sanguine peut s’avérer importante dans le cas où la baisse des globules rouges ou des plaquettes est trop importante.
L’apparition d’une fièvre peut être remarquée suite à une infection due à la baisse de l’immunité. Dans ce cas, l’oncologue peut prescrire des antibiotiques bien adaptés au type de l’infection et aux résultats des explorations biologiques et radiologiques.
comme cité ci-dessus, la muqueuse est formée de cellules très actives donc elle devient extrêmement fragile suite au traitement chimiothérapique ce qui engendre des lésions de la bouche. Certains médicaments de chimiothérapie entraînent l’apparition d’une mycose buccale, de mucite (inflammation d'une muqueuse) ou encore de gingivo-stomatite (ce sont des lésions qui peuvent être douloureuses à l'intérieur de la bouche : aphtes, ulcérations, rougeurs…).

L’oncologueintervient dans ce cas pour prévenir ces lésions. Il conseillera le malade de :
1. faire des bains de bouche,
2. consommer les aliments mixés ou moelleux,
3. sucer des glaçons ou des bonbons à la menthe,
4. boire beaucoup d’eau et de boisson à base de Cola,
5. se brosser régulièrement les dents avec une brosse à dents souple,
6. hydrater les lèvres à l’aide d’un lubrifiant gras (beurre de cacao, vaseline, lanoline),
7. éviter certains types d’aliments qui favorisent l'apparition d'aphtes comme : les noix, le gruyère ou l'ananas,
8. éviter les bains de bouche qui contiennent l'alcool,
9. éviter l’alcool et le tabac,
10. éviter les aliments acides (jus de citron, vinaigrette, moutarde), trop épicés, les fruits secs durs

Certains types de médicaments de chimiothérapie ont un effet toxique sur les nerfs, d’où, les sensations de fourmillement et/ou d’engourdissement au niveau des mains ou les pieds. Ce malaise peut s’aggraver et entraîner des anomalies de la sensibilité, appelés paresthésies. Cette dernière se manifeste par une faiblesse pure des membres, des fourmillements, picotements (principalement au niveau des membres supérieurs et inférieurs), des sensations d'engourdissement, qui peuvent être parfois plus ou moins douloureuses. Si ces troubles neuropathiques périphériques persistent entre deux cures de chimiothérapie ou s'ils entraînent une gêne fonctionnelle (difficulté à saisir un objet, difficultés à marcher...), l’oncologue peut décider d’arrêter le traitement et le remplacera par d'autres médicaments.
parmi les troubles hématologiques, on trouve aussi le syndrome main-pied et les troubles cutanés qui se caractérisent par des gonflements et de la sécheresse au niveau de la plante des pieds et de la paume des mains. On peut également remarquer des rougeurs… au niveau de la peau il y a une sensation de tiraillement, dessèchement de la peau, rougeurs…

Ce qu’il faut, c’est un agent hydratant sur la peau, le port de chaussures souples et de vêtements amples. Il ne faut surtout pas exposer les pieds et les mains à la chaleur (soleil, bains chauds). Eviter les activités qui peuvent être à l’origine d’un frottement de la peau ou d’une pression sur les mains (jardinage, serrer, tordre le linge, activités ménagères, conduite...), éviter les bandages serrés et les pansements adhésifs, éviter la course à pied et la marche prolongée. S’il n’y a pas d’amélioration, l’oncologue peut changer de traitement ou prescrire un traitement qui arrête ces malaises.
Une fragilisation des ongles rend les ongles striés, ondulés voire même cassants, et peuvent même tomber. Il faut donc, porter des gants de protection et des chaussures confortables pour les travaux ménagers et pour le jardinage. Il faut aussi se couper les ongles courts, appliquer deux couches de vernis au silicium puis deux couches de vernis foncé (non nacré), porter des gants ou des chaussons réfrigérants.
Des douleurs musculaires et articulaires peuvent aussi se manifester.
chez les femmes non ménopausées, des troubles du cycle menstruel sont possibles. Une femme suivant un traitement chimiothérapique peut avoir des irrégularités ou un arrêt menstruel. La durée de cet arrêt des règles est variable et peut perdurer plusieurs mois même après la fin des traitements. Elle risque même une ménopause précoce. Durant le traitement, une femme doit obligatoirement se mettre à la contraception non hormonale (stérilet au cuivre, préservatifs) sinon elle peut être sujette à des fausses couches et des malformations pendant le premier trimestre de grossesse.
Un examen clinique et s’il le faut, la réalisation d’un électrocardiogramme, une échographie ou une scintigraphie cardiaque… est une mesure préliminaire avant de commencer une cure de chimiothérapie. Cette dernière, peut avoir une cardiotoxicité et le patient risque d’avoir des troubles cardiaques.
Un état de fatigue général.
Les réactions allergiques sont les risques de toute prise médicamenteuse, notamment, la chimiothérapie. Le patient peut avoir les signes d’allergie, comme le gonflement du visage, des lèvres et de la langue, l'essoufflement, de la fièvre, des éruptions cutanées graves (démangeaisons, rougeurs, boutons…)

Hormonothérapie anticancéreuse en Tunisie: Procédure

Les cancers de nature hormonale qui se forment dans les tissus glandulaires comme : le cancer de la prostate et du sein peuvent être inhibés ou stimulés par les hormones. Pour cela, on peut intervenir sur la régulation des hormones, pour agir sur la croissance tumorale. Pour ce faire, l’oncologue administre des molécules, tels que les anti-testostérones qui sont utilisées dans le traitement de certains types de cancer de la prostate et les anti-estrogènes qui sont utilisées dans le traitement de certains types de cancer du sein.

Oncologie médicale Tunisie : Le suivi des patients

Le suivi d’un malade de cancer se fait par l’examen clinique, les explorations biologiques (NFS, marqueur tumoraux, bilan rénal, bilan hépatique…), les explorations radiologiques (radiographie standard, échographie, scanner, IRM, scintigraphie…), etc.

Le suivi doit être régulier et ne doit pas s’arrêter une fois la maladie abattue. Des visites fréquentes chez votre oncologue sont à envisager et programmer.

Prix chimiothérapie en Tunisie

Le prix d’un traitement en chimiothérapie en Tunisie dépend généralement du type de cancer à traiter, du stade de la maladie, de l’état physique du malade et de son âge. La clinique les Oliviers Sousse met à la disposition des patients une large panoplie de services pour assurer leur confort et le bon déroulement du traitement. Une équipe de spécialistes prendra en charge chaque patient assurant un suivi quotidien de l’avancement du traitement et une intervention rapide en cas de besoin. Pour avoir plus de détails sur le coût d’une chimiothérapie, demandez gratuitement votre devis en ligne, en quelques clics.

Au service de votre santé Clinique les Oliviers